Sous un ciel maussade ☁️ et sur un terrain déclaré souple (3,6), le Prix Jean Prat version 2025 a offert un scénario de blockbuster 🎬 : en seulement sept sorties publiques, Woodshauna décroche son premier Groupe 1 🏆, stoppant le chronomètre à 1′24″46 ⏱️. On reste loin du record de Too Darn Hot (1′21″29) établi en 2019 sur une piste ultra-rapide, mais la comparaison souligne d’autant plus l’exploit 💥 : dans des conditions qui freinent d’ordinaire les ardeurs des sprinters-milers, le pensionnaire de F.H. Graffard a jailli des profondeurs du peloton pour infliger une leçon de changement de vitesse 💨 à ses rivaux. Ce « Jean Prat » new-look confirme qu’un phénomène est né… et qu’il compte bien redessiner la carte des grandes courses d’été 🌞.
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Le film de la course, version chiffres 🕒
Les chiffres confirment ce que nos yeux ont à peine eu le temps de saisir : la fusée 🚀 montée par Christophe Soumillon, qui a systématiquement un métronome dans la tête et une grande science du placement, a tout simplement pulvérisé la partie décisive de la course.
En clair : parti dernier 🚩 et encore à cette position au poteau des 1200 m, WOODSHAUNA rend encore près d’une seconde ⏳ aux leaders dans les 1000 derniers mètres. Il grignote vingt-huit dixièmes entre les 800 et 600 m, puis vingt-six dixièmes entre les 600 et 400 m, et encore un quart de seconde entre les 400 et 200 m, puis assène un improbable 11″03 sur la portion 400–200 m : un excellent split 🔥. Toutes ses sections dans les 800 derniers mètres sont meilleures que n’importe lequel de ses adversaires.
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Un turn of foot d’exception ⚡
66,9 km/h en vitesse de pointe 🏎️. Résultat : quand WOODSHAUNA a appuyé sur l’accélérateur, personne n’a pu répondre. MARANOA CHARLIE, animateur courageux 💪, a tout donné (34″75 sur les 600 derniers), mais son 11″80 final n’a pu contenir l’ogre WOODSHAUNA : quatre centièmes, un souffle 💨, mais le verdict fait loi ⚖️.
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🌟 WOODSHAUNA | 💨 Vit max: 66.96 km/h | ⏱️ Durée: 0.40 s | 📍 290.33 m
🐎 MARANOA CHARLIE | 💨 Vit max: 64.58 km/h | ⏳ Durée: 0.30 s | 📏 301.77 m
Pourquoi ça a payé ? ✅
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Train modéré au départ – 54,5 km/h sur les 400 premiers mètres : de quoi laisser de la fraîcheur aux chevaux de queue 🐎.
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Trajectoire limpide – Christophe Soumillon s’est simplement calé en dernière position tout en restant au contact 🧘.
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Section clé 400–200 m – C’est LA zone où le Prix Jean Prat se gagne ou se perd ; WOODSHAUNA y colle un quart de seconde à tout le monde 🥇.
Et maintenant ? 🚀
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Maurice de Gheest (1 300 m) : même piste 🏟️, distance qui épouse à merveille son « kick » terminal, train garanti surclassé 🏁.
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Forêt (1 400 m, Longchamp) : si l’automne parisien 🍂 offre une piste assouplie, le scénario pourrait se répéter ; les milers « grindeurs » sont prévenus ⚔️.
Les stats qui tuent 💀📈
Pour remporter ce Jean Prat :
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WOODSHAUNA affiche un dernier 600 m en 34″07
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Il refait un handicap de distance de 16,81 m dans les 1200 derniers mètres pour l’emporter de 4 centièmes de seconde 🔥🎯
